Adresse : 63, rue de Monceau
Code postal : 75008
Ville : PARIS 8E ARRONDISSEMENT
Tel : 01 53 89 06 50 ou 06 40 (boîte vocale)
Coordonnées GPS : 48.878849,2.312855
Thème : Arts décoratifs
Arts décoratifs : Mobilier, Orfèvrerie, Textiles, Autre(s), (Porcelaines.);Beaux-Arts : Dessin, Peinture, Sculpture
Artiste(s) : J.-B Huet. J.-B. Sené. Carlin. J.-F. Oeben. Sené. Weisweiler. Jacob. Vandercruse dit Lacroix. Germain. Roettiers. Oudry. Houdon.
Personnages(s) : Moïse de Camondo (1860-1935), Nissim de Camondo (1892 - 1917), Béatrice de Camondo (1894 - 1945).
Atout musée Nissim de Camondo (Union centrale des arts décoratifs) : Exceptionnelles œuvres d'art décoratif français de la fin du XVIIIe siècle : - mobilier d'ébénisterie (M. Carlin, J.-H. Riesener, J.-F. Leleu, R. Vandercruse, A. Weisweiler, C. Topino) ; - mobilier de menuiserie (J.-B.-C. Sené, J.-B. Boulard, G. Jacob) ; - services à thé café de porcelaine de Meissen ; - services « aux oiseaux Buffon » de porcelaine de Sèvres ; - objets d'art ; - bronzes d'ameublement ; - orfèvrerie (R.-J. Auguste; J.-N. Roettiers) ; - tapis (Savonnerie, Aubusson) et tapisseries (Gobelins, Aubusson) ; - sculptures (Clodion, J.-A. Houdon) ; - peintures (E.-L. Vigée-Lebrun, J.-B. Oudry, F. Guardi). Les tissus ont été retissés à l'identique, les meubles, tableaux et objets restaurés.
Intérêt musée Nissim de Camondo (Union centrale des arts décoratifs) : Hôtel librement inspiré du petit Trianon, construit en bordure du parc Monceau entre 1911 et 1914 par l'architecte René Sergent, pour le comte Moïse de Camondo (1860-1935), éminent collectionneur d'art décoratif français du XVIIIe siècle.
Histoire musée Nissim de Camondo (Union centrale des arts décoratifs) : En 1924, le comte Moïse de Camondo lègue à l'Etat son hôtel et ses collections, afin d'en faire un musée qui porte le nom de son fils, mort au combat en 1917, et honore la mémoire du défunt. Dans son testament, le collectionneur désigne le musée des Arts décoratifs (Union centrale des Arts décoratifs) comme son légataire universel. Il précise qu'il s'est attaché à « la reconstitution d'une demeure artistique du 18e siècle » et assortit son legs de clauses restrictives : interdiction de déplacer les œuvres, sauf au sein d'une même salle, impossibilité d'enrichir la collection XVIIIe siècle, à l'exception des livres de la bibliothèque, interdiction de prêter des œuvres à des expositions en France ou à l'étranger (codicille, 1932).