Musée D'ethnologie Régionale - Béthune

Thème : Archéologie;Beaux-arts;Ethnologie;Histoire;Photographie

Architecture et urbanisme;Art moderne et contemporain;Beaux-Arts : Peinture;Photographie, Partitions;Ethnologie : Habitat, Mobilier, Métiers et Outils, Pratiques religieuses et collectives

Artiste(s) : Augustin Lesage, Edouard Pignon, Joseph Crépin

Atout musée d'ethnologie régionale : Priorité d'acquisition : productions urbaines (symboliques et intellectuelles), ensemble des activités de la région jusque dans leurs aspects les plus contemporains.

Intérêt musée d'ethnologie régionale : Construite en 1828, la Chapelle Saint-Pry est le dernier bâtiment subsistant de l’ancien hôpital. Elle a été rénovée en 1992.

Histoire musée d'ethnologie régionale : Fondé en 1970 par les Amis du musée de Béthune, le musée est à l'origine de statut associatif. En 1981, cette association cède les collections à la ville de Béthune. Ces collections se constituent au cours des années 1970-1987, grâce à des dons, des successions ou des achats dans les brocantes. Le musée conserve environ 40.000 objets répartis en trois catégories : - le fonds ethnographique, le plus important, concerne principalement des objets du XIXe siècle à aujourd’hui, dont un ensemble de 7000 plaques de verres ; - les collections archéologiques, issues des travaux des fouilles effectués sur Béthune et dans ses environs, englobent les périodes gréco-romaine, mérovingienne et médiévale ; - les collections artistiques. Le musée attache une grande importance aux ressources immatérielles, à la mémoire individuelle, collective, mémoire du travail ou des loisirs. Un centre de documentation, ouvert à tout public, met à disposition 1.500 ouvrages, pas moins de 640 enquêtes ethnographiques, un fonds d’environ 7.000 cartes postales, 2.000 diapositives ainsi qu’une centaine d’enregistrements audiovisuels et un fonds d’archives orales. En l'absence de lieu de présentation permanent, les collections sont valorisées lors d’expositions temporaires à La Chapelle Saint-Pry, au rythme de 3 à 4 par an, en accès libre.